Gwendoline

La pièce de Laurence Jyl a pour titre le nom de l’héroïne : « Gwendoline ». Après la première séance de travail avec les comédiens et Valérie Damidot, la pièce aurait dû être débaptisée et s’appeler « Le Tsunami » ou « Strike » tellement la bourrasque dévastatrice de la nature de Valérie est impressionnante. Le sujet : elle débarque dans la pièce, chez une famille qu’elle va malmener très drôlement mais très fortement… Pourquoi ? Le « pourquoi » est le sujet de la pièce dont le suspense se maintient jusqu’à la dernière réplique. L’enquête est joyeuse, l’écriture privilégie la comédie. L’auteure nous divertit avec élégance.

Jean-Luc Moreau, metteur en scène de la pièce

« Gwendoline »

Quand Gwendoline loue pour un an une mansarde dans la maison bourgeoise des Lamberti, la famille ne s’attend pas à l’ouragan qui prend aussitôt possession de leur petite vie tranquille, la chamboule, la magnifie jusqu’à se rendre indispensable, voire vitale. Mais que fait-elle chez eux ? Pourquoi se contente-t-elle d’une mansarde alors qu’elle a les moyens d’offrir la réfection du toit ? Et où va-t-elle tous les après-midi ? … De toute évidence l’explosive Gwendoline qui dérange autant qu’elle apprivoise n’est pas là par hasard. Gwendoline poursuit un objectif… et va l’atteindre. Parce que rien ne résiste à Gwendoline.